Où comment une recette de cookies peut devenir un post un brin engagé.

Après l’espèce de grosse claque gentiment venue de l’autre côté de l’Atlantique ce mercredi matin, je pense, sans devoir être trop loin de la réalité, que l’arrivée d’un peu de comfort food sur le blog ne fera de mal à personne. Alors bien sur, ces cookies ne feront pas revenir Michelle et Barack de sitôt, mais ils auront au moins le mérite de nous faire oublier l’espace d’un instant combien les 4 prochaines années à venir risquent d’être bien moins enjouées que les 8 dernières.

Comme il me semble raisonnablement impossible de préparer un stock de cookies – au càs où – suffisant d’ici avril, je vous invite plutôt à faire en sorte que le moment venu, on mange nos cookies par plaisir et non pas des regrets plein la tête. Alors oui on risque d’avoir le choix entre la peste et le choléra, mais au milieu de ce choix cornélien, l’une de ces options sera forcément « moins pire » que l’autre.

Comme ce blog n’a aucunement vocation à devenir une tribune politique, on va revenir à nos moutons à savoir les pépites d’érable. En effet, il se pourrait que, comme moi quelques mois en arrière, vous vous disiez « les pépites d’érable kézako ? » (rassurez-moi on a encore le droit d’utiliser ce mot en 2016 ?) ».

Comme je crée depuis maintenant plus de 2 ans, des recettes pour La Bonne Box, il m’arrive très souvent de me retrouver face à des produits que je ne connais pas du tout. Après petite étude sur le sujet pour leur proposer une recette sensée, je vous livre le fruit de mes recherche… Les pépites d’érable sont en fait simplement obtenues par concentration de la sève d’érable au printemps. On peut ensuite les utiliser en dessert, dans un yaourt, un cake ou même en version salée sur une viande ou un poisson. Fin de la minute culturelle.

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